Vos followers likent vos posts, mais achètent-ils vos produits ? Soyons honnêtes : combien de ces followers sont vraiment vos clients ? Il est tentant de mesurer son succès aux likes, commentaires,… mais cela n’a pas de lien direct avec votre chiffre d’affaires.
Chez Social Return, nous défendons une idée simple : « Les followers, c’est bien. Les clients, c’est mieux. » Après tout, les likes ne paient pas les factures.
Le grand malentendu des réseaux sociaux
Le grand malentendu des réseaux sociaux est de confondre popularité et réussite business. Accumuler des abonnés et des likes peut flatter l’ego mais cela ne garantit pas des ventes. Compter les followers ou les “likes” ne suffit pas, il faut aligner ses réseaux sur des objectifs business pour en tirer de la vraie valeur. Autrement dit, 10 000 followers qui like mais qui n’achètent rien ne rapportent pas plus que 10 followers inactifs.
Avoir une foule de followers ne signifie pas que vous avez une clientèle fidèle. Beaucoup de marques font l’erreur de prendre leurs followers pour des clients acquis, puis s’étonnent que leurs promotions sur les réseaux n’engendrent aucune conversion. En réalité, un follower scrolle et clique par curiosité, alors qu’un client potentiel agit par besoin ou intention d’achat. Il faut donc arrêter de confondre notoriété sur les réseaux et performance commerciale. Une présence sociale, aussi large soit-elle, n’a de sens que si elle nourrit votre activité réelle.
La donnée, clé du lien entre follower et client
Comment savoir si vos followers sont aussi vos clients ? La réponse tient en un mot : data. Il faut croiser deux univers de données : vos données sociales et vos données business. Or, peu d’entreprises le font aujourd’hui ! C’est pourtant la clé pour transformer un like en euro sonnant et trébuchant. En synchronisant vos données sociales avec vos données clients, vous pouvez identifier les vrais points communs entre vos followers et vos acheteurs. Vous découvrez, par exemple, quels followers ont déjà acheté chez vous, quels produits les intéressent, ou lesquels de vos clients vous suivent sur les réseaux. Sans ce lien de données, vous naviguez à vue : impossible de dire si votre communauté en ligne génère du chiffre ou non. La data est le pont entre vos efforts social media et votre ROI réel.
Comment transformer vos réseaux en levier de vente
Alors, comment passer du « buzz » au business ? Voici une méthode simple en 3 étapes pour mettre vos réseaux au service de vos ventes :
- Collectez votre First Party Data : rassemblez toutes les données dont vous disposez sur vos clients et prospects (emails, téléphone, historiques d’achat, visites sur votre site, etc.). Elles sont fiables et vous appartiennent. Une mine d’or pour comprendre qui sont vraiment vos clients.
- Connectez-la à vos réseaux sociaux : utilisez ces données pour créer des ponts avec vos plateformes sociales. Enrichissez vos audiences publicitaires avec votre third-party data. L’idée est d’aider l’algorithme à toucher les bonnes personnes, pas juste celles qui correspondent vaguement à vos critères généraux.
- Mesurez et optimisez : une fois vos campagnes lancées avec ces données, suivez de près les résultats. Mesurez combien de vos followers exposés à une pub achètent effectivement, calculez votre coût par acquisition depuis les réseaux, etc. Identifiez les contenus qui convertissent le mieux et les segments d’audience les plus rentables. Puis optimisez en continu : augmentez le budget sur ce qui marche, ajustez ou stoppez ce qui ne donne rien. Grâce au suivi, vous transformez vos réseaux sociaux en véritable levier de vente piloté par la data, où chaque euro dépensé est justifié.
Conclusion : du social au ROI
Demain, la vraie question ne sera plus “Combien de followers avez-vous ?”, mais “Combien de vos followers achètent chez vous ?”. En reliant vos données sociales à vos données clients, vous ferez enfin passer vos réseaux de la sphère de la communication à celle de la performance.
L’objectif de Social Return est clair : que chaque like, chaque post, chaque euro investi sur les réseaux serve votre ROI. Parce qu’au final, ce n’est pas la taille de votre communauté qui importe, c’est le chiffre d’affaires qu’elle génère.